Dans ces balades à travers les différents secteurs de la ville comme il en a l’habitude, surtout en ce temps où la chaleur pousse à sortir, Djeliba est tombé sur une histoire digne d’un film hollywoodien. En fait, ce fait a tellement marqué Djeliba qu’il ne sait pas s’il faut en pleurer ou en rires. Comment pareille situation a-t-elle pu arriver ? Où va notre société ? Quel héritage allons-nous laisser à la postérité ? Voici autant de questions qui taraudaient les méninges de Djeliba lorsqu’il écoutait d’une ouïe espionne mais attentive cette histoire puisqu’il ne se trouvait pas sur la table où elle (l’histoire) se racontait. Mais de qu’elle histoire s’agit-il au juste ? Djeliba s’en va vous la conter.
Lors de cette sortie de Djeliba, il à ouïr dire que dans la périphérie de Banfora, entre les dômes attractifs et les bâtis des argentés, une école primaire de renommée aurait offert un film spectaculaire aussi bien aux élèves qu’aux riverains de la zone. En effet, deux enseignantes d’une même classe et assurément du tempérament, se seraient livrés en combat de gladiateurs au su et vu de tous. Ce combat se serait déroulé devant les tout-petits qu’elles sont censées éduquer. De ce combat, une victime aurait terminé sa soirée en soin intensif.
Pour ce qui est des faits, Djeliba aurait appris que le nœud de cette guéguerre ne serait rien d’autre que la mise des modèles dans les cahiers. En espérant que ces propos trouvent leur fondement dans le HOUBLON qui gardait la table de l’auditoire de Djeliba, sinon pour la sensibilité et les gravissime conséquences que pourraient engendrer un tel acte s’il est avéré, Djeliba a préféré écourter sa balade de ce jour et est rentré illico-presto pour dissiper son émoi.
Wangola Médias
