Moyen Orient : scènes de liesse après plus de 68000 morts à Gaza et à Jérusalem.

« Le cauchemar est fini », ce sont là, les propos de Donald Trump, le Président des États-Unis, ce 13 octobre 2025, fraichement recalé par le comité du Prix Nobel de la Paix. Il était devant le parlement Israélien en ce jour mémorable à la fois pour les Palestiniens que les Israéliens.
L’histoire enseigne toujours, mais seul le commun des mortels garde ses folies devant elle. Quelles frustrations planétaires ! Quelles pertes en vies humaines ? Comme toutes les guerres, l’on finit toujours par des compromis puis des accords. Mais hélas, pourquoi l’histoire n’enseigne pas les décideurs de ce monde que toutes les guerres finissent par des négociations ?
Nous sommes au 7 octobre 2023. Ce jour, les Israéliens se sont réveillés dans l’horreur. Des femmes, des hommes et des enfants sont tués. Pires, des femmes sont violées et tuées, le tout sur enregistrement vidéo. Évidemment comme pour dire à la face du monde voilà notre « prouesse ». Très tristes démonstrations avec ces scènes d’horreur.

Du reste, les Israéliens ont été surpris par cette fragilité de leur système sécuritaire, tout comme la planète entière. Comment peut-on autant frapper au cœur d’Israël, une nation qui avait fini de démontrer à la face du monde son invincibilité ? Mais c’était malheureusement les faits, avant que l’agresseur, les combattants invétérés du HAMAS, ne signalent qu’ils sont en plus repartis avec 251 otages Israéliens.
Ni les menaces du « grand » Israël, ni son délai pour la libération des otages n’ont fait fléchir d’un iota ceux qui avaient réussi à porter ce coup dur aux Israéliens qui se sont finalement résolus à montrer du muscle. Comme quoi, on ne peut enlever le petit du lion et penser dormir sur ses lauriers.
Conséquences, après deux ans, 67869 palestiniens dans la bande de Gaza, devant l’émoi mondial, ont payé de leurs vies. Que dire si ce n’est que la folie des acteurs a atteint son paroxysme. Passons sur ces nombreux dégâts matériels, ces déplacements de palestiniens et cette question cruciale des Palestiniens à se nourrir.
Fort heureusement, devant les injonctions de Donal Tromp à l’État Sionistes, c’était des scènes de liesse dans les deux camps ce 13 octobre. « Le cauchemar est fini », a simplement rassuré les deux camps Donald Trump. Cela après un cesser le feu décrété peu avant puis des prisonniers échangés ce 13 octobre 2025. La paix des braves ?

Pour arriver à ces scènes de liesse de part et d’autre, l’Israël a dû libérer 1958 Palestiniens qui croupissaient dans les geôles d’Israël. Le HAMAS lui a dû libérer les 20 prisonniers encore vivant des enlèvements du 7 octobre. Ils arboraient le sourire aux visages après une détention de 737 jours. Des otages qui regagnent ainsi sain et sauf leurs familles et ont été portés en triomphe.
La journée est bien mémorable malgré la vie de 28 captifs Israéliens et 67 869 Palestiniens passées à trépas. Où étaient les décideurs de ce monde devant la tragédie qui durant deux ans ont fermé les yeux sur l’hécatombe ?
Mais malgré le nombre de morts, il convient de saluer cette paix des braves et inviter la communauté internationale à être plus alerte sur la résolution des crises. Que cela ne dépende pas de la seule volonté des princes du monde, la communauté internationale ayant un grand rôle à jouer.
Et le meilleur que l’on puisse souhaiter aux frères Israéliens et Palestiniens, est que vive la paix pour des siècles et des siècles.
Wangola Médias.