Circulation routière : Urgence pour l’entretien de la route nationale n°7 à l’intérieur de la ville de Banfora
Circulation routière : Urgence pour l’entretien de la route nationale n°7 à l’intérieur de la ville de Banfora
La circulation routière dans la ville de Banfora est devenue depuis un certain très inconfortable sur la nationale 7 qui va de Bobo Dioulasso jusqu’à la frontière de la Côte d’Ivoire, traversant ainsi la ville de Banfora. Cette route qui est une importante voie d’entrée de nombreuses marchandises depuis les ports d’Abidjan et de San Pedro est fortement sollicitée du fait qu’elle est empruntée par de gros camions.
Si l’état général de cette route nationale depuis Bobo Dioulasso jusqu’à la frontière ivoirienne est devenu préoccupant du fait de nombreux nids de poules sur la chaussée, dans la ville de Banfora où la circulation est plus intense, certaines portions de cette route demandent à être entièrement refaites et en urgence. Dans son état actuel il n’est plus question de nids de poules uniquement. Par endroits des pans entiers de bitume ont laissé place à des crevasses où l’eau stagne en cette période de pluie. On se demande bien ce qu’attendent les services chargés de l’entretien routier pour réagir et améliorer la situation pour les usagers.
Il faut surtout noter qu’il y a quelques mois, au moment où des nids de poules ont commencé à ses former, les transporteurs routiers avaient entrepris des travaux sur fond propre pour boucher ces trous sur le bitume à l’intérieur de la ville de Banfora. Les travaux avaient consisté à combler les trous avec du béton et pendant quelques mois la situation s’était améliorée pour les usagers de cette route. Malheureusement cette solution n’a pas fait long feu et la route a continué à se dégrader pour constituer aujourd’hui un véritable calvaire pour les populations. Dans la ville de Banfora, la portion de voie la plus dégradée va du carrefour du palais de justice jusqu’au grand marché. Le carrefour de la station Total qui est un grand virage ressemble aujourd’hui à une route bombardée par un avion de combat.
À la sortie de la ville également en direction de la Côte d’Ivoire, cette nationale est dans le même état juste avant le grand pont de kossara. Il y a donc urgence à apporter une solution rapide et comme l’entretien des routes nationales est du ressort de l’état, les structures concernées sont interpellées.
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